Bradley Cooper s’est engagé à devenir plus qu’un acteur beau et à la mode : il veut être un réalisateur de premier ordre et rivaliser parmi les meilleurs. A star is born était sa déclaration évidente d’intentions ; un film dans lequel il a joué aux côtés d’une débutante dans l’acting Lady Gaga qui lui a valu la reconnaissance du public en général.
Maintenant, il revient avec un deuxième long métrage qui, bien qu’il soit différent, n’est pas moins important que le précédent. Dans Maestro, Cooper lui-même se met dans la peau de Leonard Bernstein, le célèbre compositeur et pianiste du XXe siècle qui est devenu l’une des figures musicales les plus importantes de l’époque. Le film raconte la relation de Bernstein avec Felicia Montealegre (Carey Mulligan) et vise à être son entrée triomphale aux Oscars. Mais comment cela s’est-il passé pour lui ?
Que dit la critique à propos de Maestro?
Les premières critiques sur Maestro sont sorties sur Rotten Tomatoes, et il est vrai que ça n’a pas été si mal pour le bon vieux Cooper. Le film a obtenu 81% de critiques positives, ainsi qu’une acceptation de 89% par le public. Voici quelques-unes des critiques les plus remarquables :
« C’est un film qui vous fera réfléchir longtemps après le générique » – Stephen Romei, The Australian
« Le deuxième film de Cooper offre une narration discordante, une combinaison de moments convaincants avec des notes plates. Mais il semble être fait pour que Mulligan brille dans un film qui serait autrement ennuyeux » – Maxwell Rabb, Chicago Reader
« Tout émane de la performance virtuose de Cooper ou, plutôt, de ses performances successives. D’abord, en tant que jeune Bernstein enthousiaste, brillant et légèrement maniaque. Ensuite, en tant qu’homme plus âgé, plus formel mais toujours volatil » – Jake Wilson, The Age
« Peut-être ce n’est pas le portrait le plus complet de Bernstein. Mais c’est une introduction assez solide à un homme avec autant de couches que ses compositions musicales » – Keith Garlington, Keith and the movies
« Bradley Cooper dirige tous les éléments de ce film comme s’il s’agissait d’une symphonie de divertissement » – Jackie K. Cooper
